L'arrivée se fait à proximité d'un marche. Avis à ceux qui ne connaissent pas les lieux, pour retrouver le temple il vous suffira de lever un peu les yeux pour voir sa direction. Vous l'aurez donc deviné, pour y accéder, il faudra donc emprunter les allées de ce petit marché où vous pourrez ramener votre plus beaux T-Shirt aux couleurs de Penang (ou un tas d'accessoires à l’effigie de Paris...).
Une fois le marché passé, il vous faudra emprunter ce pont qui travers une bassin rempli de tortues. Si j'avais du me contenté d'une petite poignée de tortues à Ipoh, ici elles nagent par dizaines et vont à la nourriture des touristes, comme les stéphannois vont aux matchs des Verts.
Mais après encore quelques pas, voilà l'entrée du site. C'est là qu'on commence à comprendre pourquoi ce site bouddhiste est le plus grand du pays.
C'est ensuite qu'on arrive enfin à la FAMEUSE pagode ! A son pied, un petit jardin dans lequel vous entrez sous le chant des oiseaux et de l'eau qui coule. Oui enfin, c'est en tous cas ce que la bande son est censée reproduire. Vous pourrez ensuite vous laissez aller à un petit instant de repos, avant d'entreprendre la marche jusqu'en haut de la pagode. Pour cela, une végétation verdoyante et - une fois encore - colorée (les fleurs artificielles aidant).
C'est ensuite parti pour la visite des étages de la pagode. Il est à noté qu'elle compile à la fois un style chinois, thaï et birman, marque des diversité et complémentarité des cultures pour une même religion (marque aussi de la monarchie Thaïlandaise qui a su investir dans ce lieu). Et à chaque étage, une petit pause prière et donation vous attend. Les croyants doivent couvrir Bouddha d'Or, malheureusement il est beaucoup trop grand pour y arriver.
Une fois la pagode visitée, il vous restera la partie supérieure du site (quand il n'y en a plus, il y en a encore!). Mais cette fois, pas question d'y aller à pieds. Un funiculaire vous attend donc pour vous y rendre (moyennant quelques ringgits également). Tout en haut, l'espace dédié à la déesse de la miséricorde - Guanyin - trônant sous un énorme pavillon d'à peine un peu plus d'une quinzaine d'années (2002). Rien de moins ici que la plus grande représentation au monde de cette déesse, bien que sa taille ait été limitée pour ne pas que son ombre atteigne la mosquée voisine.
#Geoffrey
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